Collection Jeune Vieux. Location Pour Étudiant (1/2)
Trouver un logement pour plusieurs années, je lespère, cest ce que maman cherche pour moi, dès que je suis reçu à mon bac avec mention très bien.
Nous avons pu nous inscrire à la fac de Bordeaux alors que nous habitons un village près de Clermont Ferrant, ville que jhabite depuis ma naissance, mes parents sont dorigine modeste, ils font ce quils peuvent pour me soutenir dans des études, de longue durée, de médecine que je souhaite attaquer.
« Cherche étudiant, chambre individuelle assez grande avec partie commune partagée avec la propriétaire, près de la fac. »
Suivie dun numéro de téléphone, maman appelle, cest elle qui se charge de me trouver un logement, la somme demandée par mois nest pas inscrite, cest souvent le cas les proprios sadaptant à toutes les demandes.
Pascal, jai trouvé, nous allons à Bordeaux samedi matin, tu auras une chambre chez une dame qui loue un espace personnel, avec les parties communes que vous vous partagerez.
La chambre est à deux pas de la fac, cette femme à exactement mon âge, nous sommes nées toutes les deux le même jour, le même mois de la même année.
Cest drôle, elle ma demandé mon âge, elle trouvait ma voix douce et ne voulait pas croire que javais quarante-huit ans.
Cest ainsi que nous allons à Bordeaux, le samedi pour rencontrer madame Judith, femme élégante, malgré le poids des ans, moi qui aurai dix-huit ans pendant ces vacances, toute dame de plus de quarante ans est vieille pour moi.
Chambre assez claire dans ce vieil immeuble de Bordeaux, cest vrai que je serais près de la fac, juste quelques stations de bus et la possibilité dy aller à pied les jours de beaux temps.
Pour les vacances, je chausse mes grosses chaussures de marche, je pars faire la route des puys avec sac à dos et tente individuelle.
Cette grande marche a deux intérêts, faire le plein dair pur et dépenser le moins dargent possible, mes parents malgré la petite bourse que je vais avoir étant peu friqué.
Cest blindé dair pur que mes parents me conduisent à Bordeaux pour que je minstalle.
Premiers cours, premiers bourrages de crâne.
Pour le partage des parties communes, la salle de bains, tout est planifié, la cuisine madame Judith mange à 12 heures, quand je suis là, mangeant au restaurant universitaire la plupart du temps, jai la liberté de manger à 11 heures ou à 13 heures.
Jai une place pour ma nourriture dans le frigo, il y a un petit supermarché, mais dans un coin de ma chambre, maman a stocké des boîtes de conserve achetées lannée de mon bac.
Un seul endroit non planifié les toilettes, il est impossible de dire quand nous aurons à nous en servir.
Parlons de madame Judith, elle est grande, poitrine généreuse, blonde, mais les racines de ses cheveux me montrent que ce nest pas naturel, il va sans dire que je ne le saurais jamais, je me vois mal la déshabiller pour avoir confirmation de ma supposition.
Les semaines, puis les mois passent, jai des partielles qui me montrent que mon travail paye, jai maman en vidéo sur mon ordinateur portable, elle passe son temps à mencourager.
Je peaufine un devoir essentiel pour passer en deuxième année, le nombre de places étant limité, si je rate, cest fini pour mon envie dêtre médecin.
Cest à ce moment que lon frappe à ma porte.
Entrez !
Je mexcuse de te déranger, mais tu me fais peur.
Madame Judith me tutoie depuis le début ou maman ma conduite, je la vouvoie, pourquoi a-t-elle peur.
Je sais que tu dois travailler dur, mais au point de ne jamais taérer, ce nest pas bon pour ton cerveau.
Je nai pas le droit à lerreur, il faut que je sois dans les premiers pour passer en deuxième année.
Jignore si tu las vu, je fais du jogging tous les matins vers 7 heures, je te propose de venir courir demain matin, cela ne nous prendra quune demi-heure cette première fois, quand tu auras pris tes marques, nous montrons à trois-quarts dheure maxi.
Je nai rien à me mettre pour ce sport, je suis meilleur en marche, jai des chaussures de montagne à la maison.
Prenons quelques minutes, il y a un magasin de sport à quelques minutes. Viens, je toffre une tenue, nous courrons ensemble les matins, tu verras dans quelques jours, tu ressentiras le bienfait de courir, tu pourras plus facilement te concentrer sur tes études.
Je lécoute, nous revenons un peu plus tard, jai tout ce quil faut pour courir demain matin.
Es-tu prêt, ta tenue est très seyante, la couleur jaune fluo sur ton pantalon et sur ton bandeau te protégeront des voitures et des vélos ?
Le lendemain, première course, je pense lui mettre une raclée, mais rapidement, je déchante, jai du mal à la suivre, pour son âge, elle est bien conservée, elle mattend même sur la fin du parcours, mais jai bien aimé.
Va te doucher, jai horreur de rester en sueur, mais tu dois partir à tes cours, tu es prioritaire.
Merci, madame Judith, je vais me dépêcher, je dois vous dire que jai beaucoup aimé, un peu fatigué physiquement, mais cest vrai que mon cerveau a envie de dévorer la leçon de bio de ce matin.
Nous courrons depuis presque deux mois, je suis à quelques heures de mes examens, je suis anxieux, la course maide à me décontracter, nous sommes montés à trois-quarts dheure, je la suis sans aucun problème.
Je pourrais me la péter et la laisser sur place, mais jai compris que nous courrons en équipe et il nest pas nécessaire de lui faire voir quelle vieillit.
Ce matin, je nai cour que cette après-midi, je vais pouvoir réviser, une leçon mal assimilée.
Nous sommes partis depuis presque trente minutes quand les premières gouttes dun orage monté très rapidement se mettent à tomber, quelques gouttes au début et un déluge au bout de moins de cinq minutes.
Nous arrivons rincer chez nous, pardons chez Judith, au moment douvrir la porte elle sarrête.
Pascal, fait comme moi, nous allons tremper la maison et je vais en avoir pour des heures à tout nettoyer, nous sommes des adultes et tu dois avoir déjà vu une femme nue, fait comme moi, enlève tes affaires sur le palier, nous sommes seules, le voisin est à lhôpital.
Avant que jaie le temps de comprendre ce quil arrive, elle fait sauter son débardeur, enlève son soutien-gorge avec son appareil de contrôle de ses performances comme jen ai un moi aussi, avant dôter ses chaussures.
Allez, dépêche, tu vas attr la mort.
Je mexécute, jai du mal à défaire mon pantalon de jogging très près du corps, montrant à madame Judith que la nature ma bien pourvue, de son côté elle fait tomber le sien.
Il y a quelque temps, je pensais quil me serait impossible de voir la couleur réelle de ses cheveux, je navance pas, même si je la vois nue, sa chatte est glabre.
La porte ouverte, je ramasse mes vêtements voulant me diriger vers ma chambre.
Taratata, Pascal, filons à la salle de bain, il fait encore un peu froid malgré cet orage, cela va te réchauffer, pas de discussion, regarde, tu dégoulines comme moi.
Je prends le chemin de la salle de bains, derrière Judith qui me montre un petit cul où je poserais bien une main, mais je suis puceau et surtout timide, jai tellement orienté ma vie sur mes études que jen ai oublié les filles.
Aller, on dirait un jeune puceau, monte dans la baignoire comme moi, je vais te faire couler de leau sur toi et sur moi.
De leau, on en a déjà assez reçu.
Oui, mais elle était froide, quest-ce que je vois là, tu bandes !
À voir cette femme nue, lune de mes premières, du moins daussi près, moi le futur médecin qui risque den voir des milliers tout au long de ma carrière, mon corps réagi.
Mais dit donc, la nature ta gâté, laisse-moi faire.
Pour la première fois, une main de femme se pose sur ma verge et me masturbe.
Cest bien, petit garçon, tu vas voir, ma main va te soulager, impossible pour un homme de rester dans cet état, quand je te disais quil te fallait prendre du bon temps.
Merci madame Judith.
Elle éclate de rire.
Madame Judith, alors que jai ta verge dans ma main, dit moi seulement Judith, je te le permets.
Merci madame, pardon Judith.
Cest ma première expérience avec une femme, la main de Judith me soulage, elle me lave, mais elle aussi, mon sperme ayant giclé sur son ventre.
Jai un peignoir, elle aussi, la seule chose qui a changé entre nous, cest mon regard, je la vois comme une femme et non plus comme ma propriétaire.
Viens dans la cuisine, je vais te préparer un déjeuner réparateur, après toutes ces émotions
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